In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie. C’est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boîte aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque.
De nouveaux livres rejoignent ma bibliothèque cette semaine : j’ai tout d’abord réceptionné le dernier thriller de M. J. Arlidge, À la folie, pas du tout, édité par Les Escales. Un auteur dont j’entends énormément de bien depuis des années, que je suis impatiente de découvrir à mon tour !
Résumé : Un thriller chargé d’adrénaline qui ne laisse à Helen Grace que 24h pour démêler les fils d’une sanglante affaire. Elle m’aime… Sept heures du matin. Alors que le soleil se lève dans un ciel rouge sang, une femme est retrouvée morte sur une route de campagne. Mais qui a bien pu tuer cette mère de famille et épouse aimée ? Un peu… Deux heures plus tard, un commerçant est tué de sang-froid. Les clients sont tous laissés sains et saufs. Beaucoup… Quel motif anime ces meurtriers qui semblent tuer au hasard ? Passionnément…
Helen Grace, tout juste sortie de prison, devra le découvrir rapidement si elle veut éviter que cette journée se termine en bain de sang. Car une seule chose est sûre : ils sont prêts à tout pour terminer leur macabre travail.
A la folie…Pas du tout.
J’ai également réceptionné un roman au titre accrocheur : Comme une envie de foutre le feu de Anna Kozlova édité chez Stéphane Marsan. J’ai très peu l’occasion de lire des auteurs russes, je suis donc enchantée de pouvoir découvrir ce récit prochainement !
Résumé : » Les mots disparaissent, les lettres disparaissent, tout disparaît. Fini les scénarios, l’introspection ou la culpabilité. Inutile de courir où que ce soit, inutile d’avoir peur, il n’y a plus rien. Ni douleur, ni repentir, ni honte, ni solitude. J’ai tout brûlé. Et je ne me souviens plus de rien. «
Sacha, vingt-sept ans, a comme une envie de foutre le feu. Cette jeune Moscovite a pourtant tout pour être heureuse : elle est belle, intelligente, émancipée.
Elle travaille dans une agence de communication où elle peut s’offrir le luxe de végéter à un poste bien payé. Grâce à quoi, elle part en vacances dans des endroits de rêve. Le reste du temps, elle fume, boit, jure, prend quelques amants pour conjurer l’ennui. Sa vie n’est guère plus à ses yeux qu’une succession d’absurdités qu’elle traverse tant bien que mal, comme une somnambule. Dans le brouillard des journées qui défilent, Sacha se rappelle d’où elle vient.
Et aussi qu’elle a des comptes à régler avec le passé. Elle se souvient de lui, d’eux, de son désir d’envoyer tout ça aux oubliettes. Rien que d’y penser, elle a comme une envie de foutre le feu.
Entre ces pages imbibées de vodka, d’humour noir et de révolte, se dessine le portrait poignant d’une femme désespérément en quête de sens.
Enfin, j’ai emprunté deux ouvrages à la médiathèque : Lolita de Vladimir Nabokov éditions Folio, que j’ai eu très envie de lire grâce à Kate Elizabeth Russell et son ouvrage Ma sombre Vanessa, qui fait de nombreuses références à ce classique de la littérature américaine. Je suis curieuse de découvrir cette histoire si controversée !
Résumé : » Lolita, lumière de ma vie, feu de mes reins. Mon péché, mon âme. Lo-lii-ta : le bout de la langue fait trois petits pas le long du palais pour taper, à trois reprises, contre les dents. Lo. Lii. Ta.
Le matin, elle était Lo, simplement Lo, avec son mètre quarante-six et son unique chaussette. Elle était Lola en pantalon. Elle était Dolly à l’école. Elle était Dolorès sur les pointillés. Mais dans mes bras, elle était toujours Lolita. «
Enfin, je vais pouvoir lire prochainement L’idiot de Fiodor Dostoïevski, que j’ai emprunté à la médiathèque dans une très vieille édition Gallimard. C’est un livre qui dormait dans ma wishlist depuis des années, que je suis impatiente de pouvoir ENFIN découvrir !
Résumé : Le prince Muichkine arrive à Saint-Pétersbourg. Idiot de naissance parce qu’incapable d’agir, il est infiniment bon. Projeté dans un monde cupide, arriviste et passionnel, il l’illumine de son regard. Par sa générosité, tel le Christ, Léon Nicolaïevitch révélera le meilleur enfoui en chacun.
La trop belle Anastasia, achetée cent mille roubles, retrouve la pureté, Gania Yvolguine le sens de l’honneur, et le sanglant Rogojine goûte, un instant, la fraternité. Dostoïevski voulait représenter l’homme positivement bon. Mais que peut-il face aux vices de la société, face à la passion ?
Récit admirablement composé, riche en rebondissements extraordinaires, L’Idiot est à l’image de la Sainte Russie, vibrant et démesuré. Manifeste politique et credo de l’auteur, son oeuvre a été et restera un livre phare, car son héros est l’homme tendu vers le bien mais harcelé par le mal.
Connaissez-vous certains de ces titres ? Qu’en avez-vous pensé ?