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In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie. C’est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boîte aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque.


 

 

Après plusieurs longues semaines sans IN MY MAILBOX, je suis très heureuse de vous présenter les nouveaux livres qui intègrent ma Pile à Lire !

Il y a tout d’abord De l’espoir et autres créatures ailées de Lydia Millet éditions Les Escales, que je viens de commencer. Pour le moment, l’histoire est sympathique et se lit très facilement. Je n’en suis encore qu’au début, mais j’apprécie beaucoup ce livre.

Résumé :  » Comment faire le bien et tisser des liens dans une société fracturée ?  »
À la suite d’une déception amoureuse, Gil quitte New York pour rejoindre l’Arizona, à pied.
Gil, le solitaire, passe ses journées dans la contemplation de la nature jusqu’à l’arrivée d’une famille dans la maison d’en face. Tel un aquarium, la construction de verre aux abords du désert donne tout à voir. Petit à petit, le quotidien de Gil s’entremêle à celui de ces inconnus dont il sait déjà tout.
Dans ce roman à l’humour subtil, Lydia Millet examine le rôle de l’individu dans la société et les communautés que l’on crée dans un monde en crise.


J’ai également réceptionné Parce qu’ils sont là de Laurent Esnault aux éditions Sixième(s), une nouvelle maison d’éditions que je suis impatiente de découvrir.

Résumé : Hadrien n’est pas un enfant comme les autres : il est en contact avec des personnes qu’il est le seul à voir. Pourquoi ?
Qu’attendent-elles de lui ?
Comment va-t-il trouver la paix ?
Son père va s’efforcer, mettant de côté son scepticisme et ses doutes, de l’accompagner dans ce monde si particulier de ce que nous appelons les « fantômes ». Au gré de rencontres décisives, ils vont essayer, ensemble, de comprendre et d’accepter ce nouveau monde, mystérieux et parfois effrayant.
Au-delà du sujet sensible du deuil, l’auteur nous parle avec finesse de la vie et d’amour inconditionnel. Un premier roman délicat qui nous touche en plein coeur et tient toutes ses promesses.


Une de mes auteures fétiches, Chrystel Duchamp, a sorti un nouveau polar : L’île des souvenirs aux éditions l’Archipel. Elle m’a également joint un petit mot personnalisé avec un marque-page, une petite attention qui m’a beaucoup touché. J’avais eu la chance de la rencontrer l’année passée, lors du Prix de l’évêché à Marseille, au-delà d’être une auteur remarquable, c’est une femme formidable. Je suis sûre que L’île des souvenirs sera un coup de coeur !

Résumé : Delphine, 22 ans, est étudiante à Lyon. Issue d’une famille bourgeoise, elle tente de s’affranchir de son éducation stricte en écumant bars et boîtes de nuit.
Au cours d’une soirée, elle suit une mystérieuse brune jusqu’à sa voiture…
Quand Delphine se réveille dans un lieu inconnu, elle est menottée à un radiateur. Bientôt rejointe par une autre prisonnière, qu’elle connaît. L’une des deux ne survivra pas à l’horreur.
L’enquête confiée à la Crim n’avance pas assez vite aux yeux de l’opinion. Sous pression, le capitaine Romain Mandier accepte l’aide d’un profiler et d’une psychotraumatologue.
Choquée, la rescapée se souvient d’un homme en noir, mais sa mémoire est un champ de ruines. Peut-on seulement se fier à ses souvenirs ? Exhumer d’eux le détail qui mènera au coupable ?
Une fois de plus, Chrystel Duchamp surprend par une intrigue des plus originales et un épilogue aussi glaçant que retors !


Je poursuis ma découverte de la saga de Caroline Kant, L’immeuble de la rue Cavendish, que j’adore, avec le quatrième tome : Les Tourments d’Hermine, édité chez Les Escales. C’est toujours un plaisir de retrouver les habitants de cet immeuble !

Résumé : L’appartement d’Hermine, c’est son havre de paix, après ses journées agitées d’institutrice. Est-ce qu’elle va réussir à faire de la place pour Ismaël, le jeune réfugié qu’elle a accepté d’héberger ?

Hermine a toujours admiré sa collègue Yasmine, bénévole auprès des mineurs sans-papiers. Alors quand celle-ci lui demande d’accueillir un adolescent de seize ans, elle ne peut pas refuser. L’arrivée d’Ismaël bouleverse sa vie… et celle de ses voisins !
Mais quelle chance d’être si bien entourée : Margaux est toujours de bon conseil et Joshua, toujours là pour elle. Surtout qu’Hermine n’est pas au bout de ses peines.
Au travail, un instit’ fraîchement débarqué la colle sans arrêt. Et c’est sans parler de la nouvelle fiancée de Jo, parfaite et exaspérante. À se demander si Hermine retrouvera un jour sa vie tranquille…


En tant que marinette, je me dois de lire Mes soeurs, n’aimez pas les marins de Grégory Nicolas édité chez Les Escales. Je suis très curieuse de voir l’image que va dépeindre l’auteur des marins… autant vous dire que je l’attends au tournant !

Résumé :Grand roman d’amour et d’aventure, Mes sœurs, n’aimez pas les marins rend un hommage bouleversant à ces femmes à qui la mer a tout pris et qui ne renoncent jamais.

1942, sur les côtes de Bretagne. Quatre vies entre petits matins calmes et furie des tempêtes. Celles de Perrine et de son fils Jean, qui, en pleine Seconde Guerre mondiale, décide d’embarquer sur un bateau de pêche à seize ans, contre l’avis de sa mère. Puis c’est la rencontre entre Jean et Paulette, le coup de foudre, la naissance de Pierre.
Quand le bonheur semble installé, c’est la mer qui revient pour l’arracher avec violence. Alors un jour, la jeune Paulette décide de briser les chaînes du destin : Pierre, son petit garçon, ne sera jamais marin. Elle l’emmène à l’abri, comme font les louves, aussi loin du rivage que possible. Mais il faut croire que la mer, encore et toujours, a des ruses auxquelles nul ne peut échapper…


Enfin, j’ai reçu (et déjà lu) Aussi fort que l’amour de Jacquelyn Mitchard édité chez l’Archipel. Une histoire qui avait du potentiel, mais qui m’a passablement déçue et ennuyée. Ma chronique devrait être en ligne dans la semaine.

Résumé : Stefan n’a que 17 ans quand il est envoyé en prison pour le meurtre, au cours d’une soirée arrosée, de sa petite amie Belinda.
Trois ans plus tard, il est libéré. Mais, à part Théa, sa mère, nul ne semble prêt à le voir reprendre le cours de sa vie. À commencer par la mère de Belinda et les membres de l’association « Touche pas à nos filles », qu’elle a créée dès l’incarcération de Stefan, et dont les manifestations hostiles attirent l’oeil des médias.
Théa voudrait aider son fils à se reconstruire, mais ses années derrière les barreaux l’ont amené à se replier sur lui-même. Et des inconnus commencent à le menacer. Dont cette jeune femme, qui le harcèle au téléphone…
Et si la nuit du drame, dont Stefan n’a aucun souvenir, n’avait pas livré tous ses secrets ?
Dans ce roman mêlant suspense psychologique et drame familial, Jacquelyn Mitchard renoue avec les thèmes qui ont fait le succès d’Aussi profond que l’océan, son best-seller international.


Et de votre côté, quels livres avez-vous reçu ?

 

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Je suis très heureuse de vous retrouver pour vous partager mes premières réceptions livresques de 2023 ! J’ai reçu Les premières funérailles de Alexandre Delas éditions l’Archipel, que j’ai commencé cette semaine et que je vais sans doute finir dans les prochains jours. Pour être honnête, l’histoire est assez spéciale, j’ai beaucoup de mal à accrocher… mais je ne désespère pas d’une bonne surprise.

Résumé : Qu’est-ce que la réalité ?
Celle que nous voyons, celle que nous vivons, celle que nous interprétons ou celle que nous rêvons ?
Issu d’une famille de médecins qui ont révolutionné la chirurgie esthétique, un enfant très laid grandit dans un Paris détruit par une guerre dont personne n’a le droit de parler, mais qui a été reconstruit en plus beau.
Le destin lui offre une beauté luciférienne. Que va-t-il en faire ? N’est-ce pas une malédiction quand on est né au royaume des apparences ?
À l’âge de trente-trois ans, il est enfermé et vit ses derniers instants. Pendant cette ultime nuit, il retraverse son existence : la cruauté du monde de l’enfance et de l’adolescence, du monde de la nuit, du monde du travail dans une entreprise américaine de la Tech, du monde des affaires en Chine, de la solitude, de la perte des illusions…
Avec cette question qui le poursuit : peut-on survivre à ses premières funérailles et vivre enfin libre ?


Toujours chez l’Archipel, j’ai reçu Elle a tes yeux, mon amour de Typhanie Moiny, un roman que j’ai hâte de découvrir : il va être fort en émotions !

Résumé : « Le temps me joue des tours. Il me semble qu’hier encore, je peignais dans ce chalet, à l’abri des douleurs de la vie. En quelques années, j’ai quitté le statut de l’adolescente excentrique pour celui de la veuve fatiguée, sans même avoir été mariée »
À 34 ans, la vie d’Amandine bascule. Olivier décède et emporte avec lui leur dernier espoir de fonder une famille. Seuls restent la peine, les regrets et le souvenir de cet homme plus âgé et bienveillant. Amandine tente de survivre au deuil comme elle le peut lorsqu’elle fait la connaissance de Mathilde, fille du défunt, et de douze ans sa cadette. Un caractère de cochon, mais les yeux de son père. À chaque rencontre, des étincelles. Et pourtant, ces deux femmes devront apprendre à communiquer, car bien qu’elles ne le sachent pas encore, elles sont liées… et pas au bout de leurs surprises !
Dans ce second roman, Typhanie Moiny aborde les thèmes du deuil, de l’amitié et de la famille recomposée, avec douceur, justesse et poésie. Les paysages du Cotentin, des pointes d’humour et notes d’espoir viendront rythmer votre lecture.


J’ai également reçu Wanted de Claire Delannoy aux éditions Albin Michel. Claire Delannoy est directrice littéraire chez Albin Michel, elle doit donc détenir une plume appréciable : je suis curieuse de lire son histoire.

Résumé : « Vous avez sans doute en tête la photo parue en première page dans tous les journaux, j’y apparais en princesse jardinière, longue robe et tablier, dans les mains les fameuses tomates rouges qui sont tombées à terre quand j’ai dû lever les bras mise en joue par la police armée. Je suis dans un jardin tout ce qu’il y de commun, et d’un coup je deviens l’icône terroriste, la fille aux tresses blondes qui abat le bourgeois sans état d’âme, la fille près de chez soi qui représente le mal. »
Au fil d’un face à face subtil et sinueux, Elsa et Anton, deux êtres qu’apparemment tout oppose, vont se livrer à une exploration de leur passé, à commencer par celui d’Elsa, l’engagement révolutionnaire de sa jeunesse, sa cavale sous des identités diverses pour échapper à l’image qu’on lui a assignée.
Revisitant les utopies des années 1968, sondant le travail du temps et la distance lucide qu’il instaure entre les événements et soi, Wanted est aussi une invitation au dépouillement et à la sérénité.


Les éditions Albin Michel m’ont également fait parvenir L’enfant du volcan de Léo et Ghyslène Marin, une histoire qui promet d’être émouvante.

Résumé : Saint-Avre, village de la Creuse vidé par l’exode rural. Le château, devenu un orphelinat, vient d’accueillir des enfants d’ailleurs, dont Mila, une petite Réunionnaise, arrachée à son île et à sa famille. La fillette trouve auprès d’Ernestine et d’Hector, les épiciers du village, un peu de réconfort. Or, l’attachement profond qui se crée entre ce couple sans enfant mais débordant d’amour et cette gamine livrée à la solitude et au racisme semble contrarier les autorités administratives…
Avec son fils Léo, Ghyslène Marin, puisant aux sources de son propre passé, signe un roman où la fiction se mêle à l’histoire. Au-delà de la grande sensibilité avec laquelle il décrit le lien qui se crée entre des êtres blessés, L’Enfant du volcan donne chair à cet invraisemblable drame vécu par des milliers d’enfants déplacés entre 1962 et 1984 vers des communes dépeuplées de la métropole, dans une totale indifférence.


J’ai également réceptionné Mac sur un toit brûlant de Melinda Metz aux éditions Archipoche : un roman feel good qui ne peut être que bien, au vu de la couverture.

Résumé : Chat kleptomane épris d’indépendance, MacGyver – le Cupidon félin – a le don de se fourrer dans des situations impossibles. Mais, lorsqu’il tombe sur une portée de cinq chatons orphelins, il fond.
Pour ne pas les laisser livrés à eux-mêmes, Mac décide de s’occuper de ces petites boules de poil – le temps de trouver des humains qui les adopteront.
Mais Mac, suspect n° 1 d’une série de larcins commis dans le voisinage, est assigné à résidence par ses maîtres Jamie et David – qui s’étaient rencontrés grâce à lui.
Avec cinq chatons à caser – et deux matons à ses trousses –, notre matou a de quoi exercer sa sagacité légendaire. Sauf qu’une jolie minette croisée récemment lui fait perdre jusqu’à son sixième sens…


Pour terminer ce IN MY MAILBOX, j’ai reçu Week-end entre filles de Sarah Alderson aux éditions Les Escales. Un thriller psychologique qui risque d’être palpitant.

Résumé : Orla et Kate sont meilleures amies depuis toujours. Entre le quotidien difficile de jeune mère d’Orla et le divorce tumultueux de Kate, elles se sont toujours serré les coudes. Quoi qu’il se passe dans leurs vies, elles ne dérogeront jamais à leur tradition annuelle : passer un week-end entre filles, loin de tout.
Cette fois, c’est à Lisbonne qu’elles décident de se rendre. Et si l’instinct maternel d’Orla la retient de se laisser aller, Kate, elle, ne se refuse rien. Déterminée à surmonter son divorce, elle entraîne sa meilleure amie dans une boîte pour danser jusqu’au bout de la nuit.
Quand Orla se réveille le lendemain matin, Kate n’est plus là. Persuadée que son amie a disparu, elle se lance à sa recherche. Mais, n’ayant presque aucun souvenir de la veille et sans aucune preuve, la police refuse de lancer une enquête. Orla ne peut compter que sur elle-même.
Seule et en proie à la panique, Orla tente frénétiquement de retracer les pas de Kate. C’est alors qu’une série de découvertes bouleversantes remet en question toute son existence. Car si Lisbonne détient le secret de ce qui s’est passé dans la nuit, la vérité se trouve peut-être plus près de chez elle.


Et de votre côté, comment commencez-vous 2023 ?

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Je vous retrouve avec grand plaisir pour un nouvel IN MY MAILBOX. Je n’en avais pas fait depuis le mois d’août : ça commençait à dater ! Pour commencer, j’ai reçu L’amour de ma vie de Rosie Walsh aux éditions Les Escales, que j’ai déjà commencé. C’est une histoire d’amour qui vire au polar : intéressant et hypnotisant. Pour l’instant, j’aime beaucoup.

Résumé : Emma, océanographe reconnue et médiatisée, adore son métier, son mari Leo, leur fille Ruby et leur chien John Keats. En apparence, tout est parfait. Sauf que Leo est un journaliste spécialisé dans les nécrologies de célébrités. Et, quand Emma tombe gravement malade, il tient le choc grâce à ce qu’il sait faire de mieux : enquêter sur la vie des autres.
En rédigeant la nécrologie de sa femme, Leo relève des incohérences dans son passé. Incrédule, il tente de dénouer le vrai du faux et, dévasté, il doit se rendre à l’évidence : la personne qu’il pensait le mieux connaître au monde est une étrangère.
À mesure que Leo dévoile ses secrets, Emma n’a d’autre choix que de lui prouver que, malgré ses mensonges, elle est bien la femme dont il est tombé amoureux. Mais d’abord, elle doit lui parler de l’autre amour de sa vie…


J’ai également reçu le dernier livre de Gilles Legardinier : Le secret de la cité sans soleil aux éditions Flammarion. C’est un auteur que j’ai beaucoup lu plus jeune, qui m’avait habituée à des lectures légères et pleine d’humour. J’ai donc été surprise en découvrant l’existence de ce titre, mais je n’ai qu’une hâte : (re)découvrir Gilles Legardinier à travers ce nouveau genre littéraire !

Résumé : Sept siècles après sa chute, Montségur, la légendaire forteresse, n’a toujours pas livré son secret.
Quel est donc ce trésor fabuleux que Templiers et Cathares ont protégé de leur vie ?
Quel inestimable savoir rapporté des confins du monde cachent encore les souterrains de la vénérable citadelle ?
Aujourd’hui, les Frères doivent exhumer d’urgence cet héritage avant qu’il ne tombe aux mains de ceux qui veulent en faire l’instrument du chaos.
Mais pour y parvenir, ils devront résoudre les énigmes, affronter l’inconnu et survivre aux pièges…
Contre la montre, contre ceux qui les menacent, ils doivent à présent terminer ce que leurs prédécesseurs ont commencé en 1244…
De l’issue du combat dépend la paix du monde. Une lutte sans merci, une aventure palpitante où se mêlent l’Histoire, la science et l’esprit. Une fascinante quête dont personne ne sortira indemne, et surtout pas vous.


Je suis ensuite passé chez Emmaüs, où j’ai pu trouver quelques pépites à 1 euros. J’y ai notamment pris un classique (assez rare que j’en relise de mon plein grès) Le Joueur de Dostoïevski aux éditions Babel.

Résumé : Le jeu brûle tout. Il est la passion. Il est le rêve.
L’enfer et la démesure. Le révélateur des abîmes de l’âme et l’ignoble concentré de la comédie bourgeoise. Il est l’argent!
Autour de ses tapis, le général déchu se fait l’esclave du marquis et attend le décès de la richissime Baboulinka, sa tante. Hypothèques… Héritages…
Intrigues… Corruption morale sur fond de bonnes manières. Qui donc résistera à ce tourbillon de folie?
Dans ce désordre furieux, Alexis succombe à son tour au cancer du jeu. Le jeune précepteur veut séduire l’intraitable Pauline, belle-fille de son employeur. Il est pauvre et doit devenir riche. Il veut surprendre et se tuerait pour ça.
Sur Roulettenbourg, ville d’eau paisible, souffle le vent du gâchis. Une tempête frénétique emportant les derniers fétus d’une vieille Europe en lambeaux…


J’ai également trouvé Le Sermon sur la chute de Rome de Jérôme Ferrari, toujours aux éditions Babelio, qui a remporté le Goncourt en 2012. J’en avais beaucoup entendu parler à l’époque, j’ai donc hâte de voir ce qui lui a valu ce si grand prix.

Résumé : Dans un village corse perché loin de la côte, le bar local est en train de Connaître une mutation profonde sous l’impulsion de ses nouveaux gérants. À la surprise générale, ces deux enfants du pays ont tourné le dos à de prometteuses études de philosophie sur le continent pour, fidèles aux enseignements de Leibniz, transformer un modeste débit de boissons en « meilleur des mondes possibles ». Mais c’est bientôt l’enfer en personne qui s’invite au comptoir, réactivant des blessures très anciennes ou conviant à d’irréversibles profanations des êtres assujettis à des rêves indigents de bonheur, et victimes, à leur insu, de la tragique propension de l’âme humaine à se corrompre.
Entrant, par-delà les siècles, en résonance avec le sermon par lequel Saint Augustin tenta, à Hippone, de consoler ses fidèles de la fragilité des royaumes terrestres, Jérôme Ferrari jette, au fil d’une écriture somptueuse d’exigence, une lumière impitoyable sur la malédiction qui condamne les hommes à voir s’effondrer les mondes qu’ils édifient et à accomplir, ici-bas, leur part d’échec en refondant Sans trêve, Sur le sang ou les larmes, leurs impossibles mythologies.
Empire dérisoire que se sont constitué ceux qui l’ont toujours habité comme ceux qui sont revenus y vivre, un petit village corse se voit ébranlé par les prémices de sa chute à travers quelques personnages qui, au prix de l’aveuglement ou de la corruption de leur âme, ont, dans l’oubli de leur finitude, tout sacrifié à la tyrannique tentation du réel sous toutes ses formes, et qui, assujettis aux appétits de leur corps ou à leurs rêves indigents de bonheur ou d’héroïsme, souffrent, ou meurent, de vouloir croire qu’il n’est qu’un seul monde possible.


Dans une toute autre rubrique, j’ai pris une petite lecture légère : Changer l’eau des fleurs de Valérie Perrin aux éditions Le Livre de Poche, qui a reçu le Prix Maison de la Presse en 2018.

Résumé : Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se réchauffer dans sa loge où rires et larmes se mélangent au café qu’elle leur offre. Son quotidien est rythmé par leurs confidences. Un jour, parce qu’un homme et une femme ont décidé de reposer ensemble dans son carré de terre, tout bascule. Des liens qui unissent vivants et morts sont exhumés, et certaines âmes que l’on croyait noires, se révèlent lumineuses.
Après l’émotion et le succès des Oubliés du dimanche, Valérie Perrin nous fait partager l’histoire intense d’une femme qui, malgré les épreuves, croit obstinément au bonheur. Avec ce talent si rare de rendre l’ordinaire exceptionnel, Valérie Perrin crée autour de cette fée du quotidien un monde plein de poésie et d’humanité.
Un hymne au merveilleux des choses simples.


Enfin, j’ai trouvé la suite des aventures de Lila et Elena, les héroïnes de la saga L‘amie prodigieuse d’Elena Ferrante aux éditions Folio.

Résumé : « Si rien ne pouvait nous sauver, ni l’argent, ni le corps d’un homme, ni même les études, autant tout détruire immédiatement. »
Le soir de son mariage, Lila, seize ans, comprend que son mari Stefano l’a trahie en s’associant aux frères Solara, les camorristes qu’elle déteste. De son côté, Elena, la narratrice, poursuit ses études au lycée. Quand l’été arrive, les deux amies partent pour Ischia. L’air de la mer doit aider Lila à prendre des forces afin de donner un fils à Stefano.
L’amie prodigieuse, Le nouveau nom et Celle qui fuit et celle qui reste, sont les trois premiers tomes de la saga d’Elena Ferrante.


Il ne me restera plus qu’à acquérir le quatrième et dernier tome pour avoir la saga complète !

Résumé : Après L’amie prodigieuse et Le nouveau nom, Celle qui fuit et celle qui reste est la suite de la formidable saga dans laquelle Elena Ferrante raconte cinquante ans d’histoire italienne et d’amitié entre ses deux héroïnes, Elena et Lila.
Pour Elena, comme pour l’Italie, une période de grands bouleversements s’ouvre. Nous sommes à la fin des années soixante, les événements de 1968 s’annoncent, les mouvements féministes et protestataires s’organisent, et Elena, diplômée de l’École normale de Pise et entourée d’universitaires, est au premier rang. Même si les choix de Lila sont radicalement différents, les deux jeunes femmes sont toujours aussi proches, une relation faite d’amour et de haine, telles deux sœurs qui se ressembleraient trop. Et, une nouvelle fois, les circonstances vont les rapprocher, puis les éloigner, au cours de cette tumultueuse traversée des années soixante-dix.
Celle qui fuit et celle qui reste n’a rien à envier à ses deux prédécesseurs. À la dimension historique et intime s’ajoute même un volet politique, puisque les dix années que couvre le roman sont cruciales pour l’Italie, un pays en transformation, en marche vers la modernité.


Et de votre côté, des nouveautés dans vos bibliothèques ?

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Me voici de retour pour vous présenter mes nouvelles réceptions littéraires du début d’été ! J’ai tout d’abord reçu Les flamboyants de Hubert ben Kemoun aux éditions Sarbacane, qui est un très court roman jeunesse, que j’ai d’ores et déjà lu. Ma chronique devrait pointer le bout de son nez dans les semaines à venir.

Résumé : Que fait cet homme échoué sur la terrasse du centre de soin  » Les Flamboyants « , ce matin ? C’est très simple, il est mort ! Oui, mais que savent ces cinq garçons qui ont vu le corps en premier ? Eux si abimés et tellement lumineux, si particuliers…
Il y a Claudius qui joue aux billes avec son oeil de verre, Kenny dont le passé pèse des tonnes, Martial qui a décidé d’arrêter le temps, César qui a sans cesse besoin de vérifier qu’on l’aime et Samuel qui reste toujours sur ses gardes. Cette mort mérite une enquête, et ces cinq lascars en savent plus qu’ils ne le disent ! Mais durant l’interrogatoire des garçons vont se dévoiler des éléments qui mènent beaucoup plus loin que l’enquête. Car ce matin, ce n’est peut-être pas la police qui mène la danse…


J’ai également eu la chance de recevoir le dernier roman d’Emmanuel Chastellière : Célestopol aux éditions Libretto, que j’ai remporté sur Twitter.

Il m’a gentiment dédicacé son ouvrage : je n’ai plus qu’à le découvrir !

Résumé : Célestopol, cité lunaire de l’empire de Russie, est la ville de toutes les magnificences et de toutes les démesures. Dominée par un duc lui-même extravagant, mégalomane et ambitieux, elle représente, face à une Terre en pleine décadence, le renouveau des arts et la pointe du progrès technologique. On y suit des habitants en quête d’émancipation, rebelles, insoumis – à l’image de la métropole –, qui portent en eux des colères intimes et des fêlures profondes.
Dans ce volume de fantasy d’influence steampunk, l’auteur nous livre un hommage décalé et ambitieux au romantisme slave.


Grâce à Gilles Paris, j’ai reçu un livre assez surprenant : La mécanique du tatouage : quel tatouage choisir ? écrit par Loïc Malnati et édité chez Paquet. Étant une grande fan de tatouages, je pense le lire à la rentrée… puisque c’est à ce moment-là que je risque de me faire de nouveau tatouer !

Résumé : Ce livre a pour vocation d’aider les futurs tatoués et les tatoueurs à déterminer le choix du projet de tatouage et son élaboration. Il n’expose pas de règles absolues, mais un panorama des conclusions que j’ai tirées de mon expérience de tatoueur-dessinateur.
Le choix du motif d’un tatouage est toujours un véritable casse-tête pour le tatoueur, comme pour le futur tatoué. Ma façon d’aborder ce problème a évolué avec le temps. Pour le futur tatoué, les raisons qui l’amènent à envisager ce projet sont diverses, mais pas si nombreuses que ça au final. Pour le tatoueur, les difficultés qu’il va rencontrer pour répondre à la demande de son client sont toujours les mêmes.


Grâce à mes abonnés sur Twitter, j’ai choisi 2 livres qui avaient été déposés en boîte à livres. Le premier n’est autre que Le tatoueur d’Auschwitz de Heather Morris éditions J’ai Lu, un témoignage qui va s’avérer fort en émotions.

Résumé : L’histoire vraie d’un homme et d’une femme qui ont trouvé l’amour au cœur de l’enfer.
Sous un ciel de plomb, des prisonniers défilent à l’entrée du camp d’Auschwitz. Bientôt, ils ne seront plus que des numéros tatoués sur le bras. C’est Lale, un déporté, qui est chargé de cette sinistre tâche. Il travaille le regard rivé au sol pour éviter de voir la douleur dans les yeux de ceux qu’il marque à jamais.
Un jour, pourtant, il lève les yeux sur Gita, et la jeune femme devient sa lumière dans ce monde d’une noirceur infinie. Ils savent d’emblée qu’ils sont faits l’un pour l’autre. Dans cette prison où l’on se bat pour un morceau de pain et pour sauver sa vie, il n’y a pas de place pour l’amour.
Ils doivent se contenter de minuscules moments de joie, qui leur font oublier le cauchemar du quotidien. Mais Lale fait une promesse à Gita : un jour, ils seront libres et heureux de vivre ensemble.


Le second livre (et dernier de cet in my mailbox), m’a également été vivement recommandé sur Twitter : c’est Octobre de Soren Sveistrup éditions Le Livre de Poche. Un polar danois qui va me sortir de ma zone de confort !

Résumé : Début octobre, dans la banlieue de Copenhague, la police découvre le cadavre d’une femme amputée d’une main. À côté du corps, un petit bonhomme fabriqué à partir de marrons et d’allumettes. Chargés de l’enquête, la jeune inspectrice Naia Thulin et l’inspecteur Mark Hess découvrent vite que cette figurine est porteuse de mystérieuses empreintes : celles de la fille de Rosa Hartung, ministre des Affaires Sociales, enlevée un an plus tôt et présumée morte.
Thulin et Hess explorent toutes les pistes qui leur révèleraient un lien entre la disparition de la fille de la ministre et la victime à la main coupée. Lorsqu’une autre femme est tuée, selon le même mode opératoire, ils comprennent que le cauchemar ne fait que commencer…
Quand le créateur de la géniale série télé danoise The Killing prend la plume, ça décoiffe !
Le Parisien
Un thriller aussi sensible que finement maîtrisé, une profondeur à nulle autre pareille.
La Vie.


Et de votre côté : période estivale rime avec arrivage ? 

 

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Après un mois de mai bien chargé et un mois de juin qui l’est tout autant, je prends quand même quelques minutes pour vous exposer mes dernières acquisitions livresques.


J’ai tout d’abord reçu Sous l’eau de Catherine Steadman éditions les Escales. Un thriller qui me fait trèèès envie ! Je pense que ce sera l’une de mes prochaines lectures.

Résumé : Une mystérieuse découverte bouleverse la vie d’un couple pendant sa lune de miel…
Le suspense qui a conquis plus d’un million de lecteurs dans le monde entier enfin traduit en France.
Mark et Erin, un jeune couple londonien, partent en lune de miel sur l’île paradisiaque de Bora Bora. Tout se passe à merveille, jusqu’au jour où les époux vont faire de la plongée sous-marine. Sous l’eau, ils découvrent quelque chose qu’ils n’auraient jamais dû trouver.
Ils décident de garder pour eux cette mystérieuse découverte : personne ne doit savoir. Mais très vite ils comprennent qu’ils ne sont pas les seuls à être au courant. Et, dans ce genre de situation, mieux vaut ne faire confiance à personne, pas même à ceux qui sont les plus proches de nous…


Fin mai, j’ai eu la chance de participer au Prix de l’Évêché à Marseille, qui récompense le meilleur polar du Sud. À cette occasion, j’y ai rencontré Chrystel Duchamp qui était nominée parmi les 10 finalistes. Elle a pu me dédicacer L’art du meurtre et Le sang des Belasko, ses deux premiers titres que j’avais adoré. Elle m’a également proposé de m’envoyer son dernier roman, Délivre-nous du mal, éditions L’Archipel, qui s’était perdu entre deux déménagements en début d’année. J’ai déjà hâte de le découvrir…

Bien évidemment, jamais deux sans trois comme on dit… j’ai eu la chance de recevoir Délivre-nous du mal avec une jolie dédicace : je suis comblée ! Encore merci Chrystel Duchamp, si vous passez par là.

Résumé : Février 2018. Anaïs sollicite l’aide de son ami Thomas Missot, commandant à la PJ de Lyon. Pour elle, pas de doute, sa sœur Esther a été enlevée. Pourquoi aurait-elle, sinon, laissé derrière elle ses clés de voiture, ses papiers et son téléphone portable ?
Les mois passent et, tandis que l’enquête s’enlise, d’autres jeunes femmes se volatilisent. Jusqu’à ce qu’un corps soit retrouvé pendu dans une usine désaffectée, le crâne rasé, la langue sectionnée. Puis un deuxième…
Thomas sait désormais qu’un tueur en série sévit dans la région. Mais il ignore encore que ces cadavres ne sont que la partie immergée du plan machiavélique d’un individu avide de vengeance…


Les éditions L’Archipel m’ont également envoyé Le scoop de Michelle Frances. Un polar à suspense qui m’a l’air vraiment génial !

Résumé : Quand une jeune journaliste lanceuse d’alerte s’apprête à sortir un scoop, elle dérange… Au point qu’on l’élimine. Décidée à faire la lumière sur sa mort, Kate, sa mère, s’expose à son tour au danger. Encore faut-il savoir d’où il vient… Le nouveau suspense psychologique de Michelle Frances, autrice de La Petite Amie et de La Remplaçante.
Une mort suspecte. Un secret.
Une mère déterminée à trouver des réponses à ses questions.
Kate a élevé seule sa fille Beth, son unique amour, sa fierté. D’autant que celle-ci vole depuis peu de ses propres ailes. Devenue journaliste d’investigation, elle s’apprête même à sortir prochainement le scoop qui lancera sa carrière !
Mais Beth meurt subitement. D’abord anéantie, Kate cherche à comprendre les circonstances de l’accident. Peu à peu, elle en arrive à douter. Beth a-t-elle été éliminée ? Son enquête dérangeait-elle à ce point qu’on ait voulu la faire taire ?


Le week-end dernier, je suis passé chez Emmaüs, pour faire une petite razzia de romans poche (oui, j’en ai juste 300 qui attendent dans ma PAL… je suis incorrigible !). J’y ai pris uniquement des titres qui se trouvaient dans ma Wishlist. Tout d’abord, j’ai trouvé Le jour où les lions mangeront de la salade verte de Raphaëlle Giordano éditions Pocket. Une auteure qui a fait le buzz avec son premier roman : Ta deuxième vie commence quand tu comprends que tu n’en as qu’une, un livre de développement personnel qui sort de ma zone de lecture confortable, mais que j’avais bien apprécié.

Résumé : Romane a toujours le trac avant une conférence. Ce jour-là, au moment où elle s’apprête à prendre la parole le micro part dans un terrible larsen. Un homme au premier rang s’esclaffe : « Ah ! Les femmes et la technologie… » Romane rend silencieusement grâce à cet homme, qui lui permet de confirmer l’importance et l’ampleur de sa mission : réduire le taux de burnerie. Les symptômes de ce mal aussi bien féminin que masculin sont connus : sentiment de supériorité, égocentrisme, penchant naturel pour les jeux de pouvoir ou les rapports de force, inflation de l’égo, mauvaise foi, etc. C’est parce que les burnés sont légion que Romane a décidé de créer sa société Sup’ de burnes, et d’aider ses stagiaires dans leur parcours de déburnerie. Ses méthodes originales et surprenantes ont le vent en poupe. Lors d’une nouvelle session Romane accueille Emilie, Nathalie, Patrick, Bruno, et le charismatique Maximilien Vogue, célèbre PDG d’un des plus grands groupes cosmétiques au monde. Charismatique… et terriblement burné ! Romane aura du pain sur la planche, tant pour l’accompagner à changer que pour lui résister…


J’ai également trouvé La Voleuse de livres de Markus Zusak éditions Pocket, que je souhaitais lire depuis des années… j’ai vraiment hâte de découvrir enfin cette histoire, qui sera forte en émotions…

 

Résumé : Leur heure venue, bien peu sont ceux qui peuvent échapper à la Mort. Et, parmi eux, plus rares encore, ceux qui réussissent à éveiller Sa curiosité. Liesel Meminger y est parvenu.
Trois fois cette fillette a croisé la Mort et trois fois la Mort s’est arrêtée. Est-ce son destin d’orpheline dans l’Allemagne nazie qui lui a valu cet intérêt inhabituel ? Ou bien sa force extraordinaire face aux événements ? A moins que ce ne soit son secret…
Celui qui l’a aidée à survivre. Celui qui a même inspiré à la Mort ce si joli surnom : la voleuse de livres.


J’ai également sauté sur L’amie prodigieuse de Elena Ferrante éditions Folio, qui est LE livre que je suis la plus heureuse d’avoir trouvé. J’en entendais énormément de bien depuis des années, je suis donc particulièrement enthousiaste et pressée de le découvrir enfin à mon tour.

Résumé : « Je ne suis pas nostalgique de notre enfance: elle était pleine de violence. C’était la vie, un point c’est tout: et nous grandissions avec l’obligation de la rendre difficile aux autres avant que les autres ne nous la rendent difficile.»
Elena et Lila vivent dans un quartier pauvre de Naples à la fin des années cinquante. Bien qu’elles soient douées pour les études, ce n’est pas la voie qui leur est promise. Lila abandonne l’école pour travailler dans l’échoppe de cordonnier de son père. Elena, soutenue par son institutrice, ira au collège puis au lycée. Les chemins des deux amies se croisent et s’éloignent, avec pour toile de fond une Naples sombre, en ébullition.
Formidable voyage dans l’Italie du boom économique, L’amie prodigieuse est le portrait de deux héroïnes inoubliables qu’Elena Ferrante traque avec passion et tendresse.


J’ai également déniché Le liseur du 6h27 de Jean-Paul Didierlaurent éditions Folio. Un classique de la littérature contemporaine française, que je suis contente d’avoir trouvé.

Résumé : Employé discret, Guylain Vignolles travaille au pilon, au service d’une redoutable broyeuse de livres invendus, la Zerstor 500. Il mène une existence maussade mais chaque matin en allant travailler, il lit aux passagers du RER de 6h27 les feuillets sauvés la veille des dents de fer de la machine …
Dans des décors familiers transformés par la magie des personnages hauts en couleurs, voici un magnifique conte moderne, drôle, poétique et généreux : un de ces livres qu’on rencontre rarement.
« Peu importait le fond pour Guylain. Seul l’acte de lire revêtait de l’importance à ses yeux. Il débitait les textes avec une même application acharnée. Et à chaque fois, la magie opérait. Les mots en quittant ses lèvres emportaient avec eux un peu de cet écœurement qui l’étouffait à l’approche de l’usine. »
«Voilà, on voulait vous dire, on aime bien ce que vous faites. Ça nous fait drôlement du bien.
Ça va bientôt faire un an que Josette et moi, on vient vous écouter tous les lundis et jeudis matin.»
Sur le chemin du travail, Guylain lit aux passagers du RER de 6 h 27 quelques pages rescapées de livres voués à la destruction. Ce curieux passe-temps va l’amener à faire la connaissance de personnages hauts en couleur qui cherchent, eux aussi, à réinventer leur vie.
Un concentré de bonne humeur, plein de tendresse et d’humanité. » (folio)
Jean-Paul Didierlaurent vit dans les Vosges. Le Liseur du 6h27 est le premier roman de ce nouvelliste exceptionnel, lauréat à deux reprises du fameux Prix Hemingway.

 


Et pour terminer dans mes trouvailles Emmaüs, j’ai mis la main sur Le caveau de famille de Katarina Mazetti éditions Babel, qui est la suite de Le mec de la tombe d’à côté, que j’ai lu il y a maintenant 6 ans, mais que je vais pouvoir (enfin !) poursuivre.

Résumé : Elle c’est Désirée, la bibliothécaire, et lui c’est Benny, le paysan. Elle dévore avec autant d’ardeur livres et produits bio, lui élève des vaches et n’imagine pas qu’on puisse lire «de son plein gré.» Pourtant, ils se sont promis trois essais pour avoir un enfant ensemble. Si cela ne donne rien, c’est terminé pour toujours. Et si ça marche…
Comme le disait un critique littéraire suédois: « Le quotidien tue l’amour, la vie de famille l’enterre. » C’est gai. Bienvenue dans le caveau de famille !
Pétillant et jubilatoire.
« Un bonheur qui ne vous lâche pas. »
Cosmopolitan (à propos du Mec de la tombe d’à côté)
Née en 1944 en Suède, Katarina Mazetti est journaliste de formation. Aujourd’hui auteur de livres pour la jeunesse et de romans pour adultes, elle rencontre un succès phénoménal avec Le mec de la tombe d’à côté traduit en de nombreuses langues. Le caveau de famille en est la suite.


Et de votre côté, vous avez rempli vos PAL pour les vacances d’été ?