L’équation africaine de Yasmina Khadra.
349 pages, éditions Pocket à 6,84€
349 pages, éditions Pocket à 6,84€
Résumé : Bouleversé par la mort de sa femme, le docteur Kurt Krausmann inquiète son entourage. Entraîné presque malgré lui par son ami Hans dans une expédition humanitaire, il compte sur ce voyage pour se reconstruire.
Un matin, au large du Soudan, des pirates arraisonnent leur voilier, les réduisant en otage.
Privé de liberté, Kurt va pourtant découvrir le vrai visage de l’Afrique, de pays en pays, de rencontres étonnantes en découvertes insoupçonnées.
Un matin, au large du Soudan, des pirates arraisonnent leur voilier, les réduisant en otage.
Privé de liberté, Kurt va pourtant découvrir le vrai visage de l’Afrique, de pays en pays, de rencontres étonnantes en découvertes insoupçonnées.
Extraits : « Les vérités que l’on éludait nous explosent à la figure ; les épreuves que l’on croyait prédestinées aux autres deviennent les nôtres avec une évidence telle que l’on a du mal à se supporter. »
« Lorsque j’ai rencontré l’amour, je m’étais dit, ça y est, je passe de l’existence à la vie et je m’étais promis de veiller à ce que ma joie demeure à jamais.«
« Lorsque j’ai rencontré l’amour, je m’étais dit, ça y est, je passe de l’existence à la vie et je m’étais promis de veiller à ce que ma joie demeure à jamais.«
Mon avis : Le médecin Kurt Krausmann, suite à un traumatisme causé par le suicide de sa femme, part, avec un de ses amis, à bord d’un voilier en direction de l’Afrique, pour venir en aide aux populations de ce pays. S’ensuit la recherche de la vraie vie, de la liberté, qui permettra au docteur de ne plus seulement exister, mais de vivre utilement.
Dans l’ensemble, j’ai été plutôt déçue de cette lecture. Je m’attendais à autre chose, quelque chose qui frappe plus, autre que les stéréotypes des petits Africains appauvris et mourant de faim… J’ai eu l’impression que monsieur Yasmina Khadra nous a montré que le côté négatif de l’Afrique. Or, je m’attendais à en découvrir l’univers extraordinaire, la richesse des terres de ce pays.
J’ai eu l’impression de rester au-dessus de l’histoire, de planer sans vraiment entrer à l’intérieur.
Les scènes d’actions sont un peu invraisemblables, pas très convaincantes.
Par contre, ce que j’ai bien aimé, voire adoré, c’est la comparaison que l’auteur fait entre les différents hommes. Ceux vivants dans des pays pauvres, se contentant de peu, avec le coeur sur la main, tentant chaque jours de survivre, en parallèles avec les les autres, c’est-à-dire nous-mêmes, qui essayons de nous débrouiller du mieux que nous pouvons. C’est une belle morale, une leçon de vie qui ne laisse pas indifférent le lecteur !
Je n’ai pas accroché aux divers personnages, ils ne m’ont pas touchés, ni produit aucune émotions quelques soient…
Le roman se finit par une histoire d’amour entre les deux principaux personnages : fin qui est, à mon goût, un peu trop à l’eau de rose. Sans grande surprise, je pense que la plupart des lecteurs ont décelés cette fin avant même son arrivée. Trop prévisible et sans rebondissement, je suis déçu par cette fin, qui ne me laissera pas de bons souvenirs de ce roman.
Néanmoins, j’ai apprécié le thème principal traité dans ce livre, j’ai adoré voyager parmi le désert d’Afrique et rencontrer des barbares tout aussi monstrueux les uns que les autres.
Dans l’ensemble, j’ai été plutôt déçue de cette lecture. Je m’attendais à autre chose, quelque chose qui frappe plus, autre que les stéréotypes des petits Africains appauvris et mourant de faim… J’ai eu l’impression que monsieur Yasmina Khadra nous a montré que le côté négatif de l’Afrique. Or, je m’attendais à en découvrir l’univers extraordinaire, la richesse des terres de ce pays.
J’ai eu l’impression de rester au-dessus de l’histoire, de planer sans vraiment entrer à l’intérieur.
Les scènes d’actions sont un peu invraisemblables, pas très convaincantes.
Par contre, ce que j’ai bien aimé, voire adoré, c’est la comparaison que l’auteur fait entre les différents hommes. Ceux vivants dans des pays pauvres, se contentant de peu, avec le coeur sur la main, tentant chaque jours de survivre, en parallèles avec les les autres, c’est-à-dire nous-mêmes, qui essayons de nous débrouiller du mieux que nous pouvons. C’est une belle morale, une leçon de vie qui ne laisse pas indifférent le lecteur !
Je n’ai pas accroché aux divers personnages, ils ne m’ont pas touchés, ni produit aucune émotions quelques soient…
Le roman se finit par une histoire d’amour entre les deux principaux personnages : fin qui est, à mon goût, un peu trop à l’eau de rose. Sans grande surprise, je pense que la plupart des lecteurs ont décelés cette fin avant même son arrivée. Trop prévisible et sans rebondissement, je suis déçu par cette fin, qui ne me laissera pas de bons souvenirs de ce roman.
Néanmoins, j’ai apprécié le thème principal traité dans ce livre, j’ai adoré voyager parmi le désert d’Afrique et rencontrer des barbares tout aussi monstrueux les uns que les autres.
Ma note : 5/10
Une réflexion sur “L’équation africaine”