IN MY MAILBOX


In My Mailbox a été mis en place par Kristi du blog The Story Siren et inspiré par Alea du blog Pop Culture Junkie. C’est un moyen de partager les livres reçus chaque semaine dans notre boîte aux lettres ainsi que les livres achetés ou empruntés à la bibliothèque.

 


 

En raison de l’adaptation en série Netflix du célèbre Arsène Lupin de Maurice Leblanc, certaines maisons d’éditions rééditent les ouvrages du célèbre auteur. J’ai donc reçu deux romans format poche des aventures d’Arsène Lupin : Gentleman-cambrioleur aux éditions Le Livre de Poche jeunesse, que je vous ai présenté il y a dix jours en grand format dans mon précédent IMM.

Résumé : Vif, audacieux, impertinent, rossant sans arrêt le commissaire (qui ici, en l’occurrence, s’appelle l’inspecteur Ganimard), traînant les cœurs après lui et mettant les rieurs de son côté, se moquant des situations acquises, ridiculisant les bourgeois, portant secours aux faibles, Arsène Lupin, gentleman cambrioleur est un Robin des Bois de la « Belle Époque. »
Un Robin des Bois bien français : il ne se prend pas trop au sérieux, ses armes les plus meurtrières sont les traits d’esprit; ce n’est pas un aristocrate qui vit comme un anarchiste mais un anarchiste qui vit comme un aristocrate.

Arsène Lupin, après plus d’un demi-siècle, n’a pas vieilli. Il ne vieillira jamais en dépit de son chapeau haut de forme, de sa cape et de son monocle.


J’ai également réceptionné L’aiguille creuse de Maurice Leblanc, toujours édité chez Le Livre de Poche jeunesse. Je suis impatiente de découvrir les aventures d’Arsène Lupin, que je n’ai, jusqu’à maintenant, jamais eu l’occasion de découvrir !

Résumé : Au même moment, le brigadier de gendarmerie s’approchait de M. Filleul et lui remettait un morceau de papier froissé, déchiqueté, jauni, qu’il venait de ramasser non loin de l’endroit où l’on avait découvert l’écharpe. M. Filleul l’examina, puis le tendit à Isodore Beautrelet en disant : «Voilà qui ne nous aidera pas beaucoup dans nos recherches.» Isodore tourna et retourna le morceau de papier, couvert de chiffres, de points et de lignes.


Les éditons Le Livre de Poche jeunesse m’ont également envoyé Tyler Johnson était là écrit par Jay Coles, anciennement édité sous le titre My Life Matters, il avait reçu de très nombreuses critiques positives, ce qui m’a donné envie de le découvrir à mon tour.

Résumé :  Je n’oublierai jamais Tyler. Je ne veux pas que le reste du monde l’oublie non plus. »
Marvin Jonhson, 17 ans, est un excellent élève qui fait tout pour éviter les ennuis. Mais quand on est noir dans une Amérique de blancs, les ennuis ne sont jamais loin. Lorsque Tyler, son frère jumeau, va à une soirée organisée par un gang du quartier, Marvin l’accompagne, avec la ferme intention de veiller sur lui. Soudain, c’est le chaos. Descente de police, coups de feu. Marvin perd son frère dans la panique. Le lendemain matin, Tyler n’est toujours pas à la maison. Aucune nouvelle de lui. Lentement, la réalité s’impose : il a disparu. Pendant les jours qui suivent, Marvin et sa mère cherchent Tyler sans relâche. Jusqu’à ce qu’on leur annonce que le corps de Tyler a été retrouvé. Mais la vidéo qui tourne sur le web raconte une histoire encore plus glaçante : Tyler a été abattu par un policier, alors qu’il essayait de rentrer chez lui. Après ce drame, les réseaux sociaux s’emparent de l’histoire. Marvin semble être le seul à ne pas oublier que Tyler était plus qu’un fait divers…


Les éditions Eyrolles m’ont envoyé un livre témoignage : Je ne te pensais pas si fragile de Kikka. Une histoire sur le monde impitoyable du travail et le harcèlement professionnel, qui devrait parler à bien des personnes.

Résumé : Clotilde est une battante qui a toujours su entreprendre ! Devenue une épouse et mère accomplie, en quête de stabilité, elle accepte un poste au sein d’un groupe néerlandais de cycles, Bike Wick. L’opportunité semble inespérée : il s’agit de développer l’activité en France et le patron, M. Van Der Klipp, lui donne carte blanche… Un an après son arrivée, Clotilde est parvenue à introduire des solutions innovantes, tout en gagnant l’estime de ses équipes.
Quand M. Van Der Klipp annonce son départ et leur présente son remplaçant, Karl Liechtenstein, elle entend bien continuer sur sa lancée. Mais le style managérial de Karl Liechtenstein est pour le moins déconcertant, et la jeune femme se voit progressivement prise au piège dans un engrenage infernal. Armée de son enthousiasme et de son pragmatisme, Clotilde met tout en oeuvre pour donner satisfaction à son nouveau patron, au risque d’y sacrifier bientôt sa santé physique et psychique.


J’ai reçu Qui le sait ? de Lesley Kara aux éditions Les Escales, un polar noir, sélectionné comme Best-Seller par le Sunday Times. J’ai hâte de m’y plonger !

Résumé : Elle pensait pouvoir oublier ses secrets les plus noirs. Elle avait tort.
Astrid, ancienne alcoolique, n’a pas touché un verre depuis 192 jours, 7 heures et 15 minutes.
Pour fuir son passé douloureux, Astrid a quitté Londres. Elle vit chez sa mère dans une petite station balnéaire et essaie de se reconstruire. Pourtant, malgré les réunions des Alcooliques Anonymes et sa volonté de commencer une nouvelle vie, certains souvenirs continuent de la hanter.
Car quelqu’un sait exactement ce que fuit Astrid. Et il n’arrêtera pas de la harceler jusqu’à ce qu’elle apprenne que certaines fautes ne peuvent pas être pardonnées. Pour celles-ci, il faut rendre des comptes…


J’ai eu la chance de recevoir le dernier ouvrage de Gilles Paris, Certains coeurs lâchent pour trois fois rien paru aux éditions Flammarion. Un témoignage profond et sincère sur la dépression, une maladie qui touche de plus en plus de monde, auquel à dû faire face notre auteur. J’ai hâte de m’y plonger et d’en apprendre plus sur ce grand auteur que j’admire !

Résumé : Une dépression ne ressemble pas à une autre. Gilles Paris est tombé huit fois et, huit fois, s’est relevé. Dans ce récit où il ne s’épargne pas, l’auteur tente de comprendre l’origine de cette mélancolie qui l’a tenaillé pendant plus de trente ans. Une histoire de famille, un divorce, la violence du père. Il y a l’écriture aussi, qui soigne autant qu’elle appelle le vide après la publication de chacun de ses romans. Peut-être fallait-il cesser de se cacher derrière les personnages de fiction pour, enfin, connaître la délivrance. « Ce ne sont pas les épreuves qui comptent mais ce qu’on en fait « , écrit-il.

Avec ce témoignage tout en clair-obscur, en posant des mots sur sa souffrance, l’écrivain nous offre un récit à l’issue lumineuse. Parce qu’il n’existe pas d’ombre sans lumière. Il suffit de la trouver.


Pour couronner le tout, Gilles Paris m’a gentiment dédicacé son livre. Une petite attention qui me fait terriblement plaisir : merci !


Les éditions Le Livre de Poche jeunesse m’ont envoyé PS : Tu me manques écrit par Brigid Kemmerer, un roman jeunesse sur le deuil, qui m’a l’air bouleversant !

Résumé : Juliet a toujours écrit à sa mère. Depuis sa mort soudaine, cette habitude est pour elle comme une bouée de sauvetage. Même si les courriers de Juliet restent sans réponse, elle continue de les déposer sur sa tombe chaque semaine.
Declan n’aurait jamais cru qu’une lettre pourrait changer sa vie. Pourtant, celle qu’il trouve au cimetière, où il fait des travaux d’intérêt général après le lycée, le touche profondément… Et il ne peut s’empêcher d’y ajouter deux mots.
Commence alors une correspondance inattendue entre Le Crépuscule et La Fille du Cimetière, deux étrangers que tout oppose. Ce qu’ils ignorent, c’est que leurs routes se sont déjà croisées…


J’ai reçu la nouvelle édition de La ferme des animaux de George Orwell par Le Livre de Poche jeunesse, un classique de la science-fiction, que j’ai eu le plaisir de découvrir il y a quelques années maintenant (ma chronique est disponible ici !). J’avais adoré cet ouvrage, parodie des régimes totalitaires, qui mêle humour et réflexions profondes : je vous le recommande vivement !

Résumé : Un certain 21 juin eut lieu en Angleterre la révolte des animaux. Les cochons dirigent le nouveau régime. Boule de Neige et Napoléon, cochons en chef, affichent un règlement:
“Tout deuxpattes est un ennemi. Tout quatrepattes ou tout volatile, un ami. Nul animal ne portera de vêtements. Nul animal ne dormira dans un lit. Nul animal ne boira d’alcool. Nul animal ne tuera un autre animal. Tous les animaux sont égaux.”
Le temps passe. La pluie efface les commandements. L’âne, un cynique, arrive encore à déchiffrer :
“Tous les animaux sont égaux, mais certains le sont plus que d’autres.”


J’ai également reçu Cent ans de Laurelfield de Rebecca Makkai aux éditions Les Escales. Une saga familiale ludique qui nous fait traverser un siècle à reculons : j’ai hâte de m’y plonger !

Résumé : 1999 : Bienvenue à Laurelfield, vaste demeure du Midwest et partez à la rencontre de ses propriétaires ancestraux, les Devohr. Il y a Zee, une marxiste qui méprise la richesse de ses parents, tout en vivant dans leur maison avec son mari Doug ; sa mère Grace, qui prétend pouvoir tout savoir d’une personne en regardant ses dents ; et son beau-père Bruce, occupé à faire des réserves pour l’arrivée imminente de l’an 2000. Et puis il y a Violet, son arrière-grand-mère, qui se serait suicidée quelque part dans cette grande maison et dont le portrait est toujours accroché dans la salle à manger.
1955 : Grace et son mari violent George emménagent à Laurelfield. Rapidement, elle remarque des détails étranges qu’elle considère comme des présages d’événements à venir. Sa vie commence alors à changer…
1929 : Laurelfield est une colonie d’artistes hétéroclite et bohèmes où se retrouve la fine fleur de la création artistique de l’époque. Le petit groupe passe son temps entre poursuites artistiques et débauche sous les yeux du portrait de Violet Devhor, qui hanterait les lieux.


Les éditions L’Archipel m’ont envoyé La garçonne de Victor Margueritte, édité dans leur collection Archipoche, un roman qui a beaucoup fait parler de lui l’année dernière, que je suis impatiente d’ouvrir à mon tour !

Résumé : Dans le cercle mondain où gravitent ses parents, Monique Lerbier passe pour originale, sinon même poseuse. En fait, c’est une idéaliste qu’enchantent ses fiançailles avec l’industriel Lucien Vigneret, futur associé de son père. Une déception que rend plus cruelle sa passion pour la franchise et l’honnêteté l’atteint à deux semaines de son mariage. Le choc est rude et la réaction vive. Monique rompt avec un milieu hypocrite qui l’écœure, se fait un nom dans la décoration et organise sa vie à sa fantaisie, goûtant avec indifférence à tous les plaisirs. Elle se veut libre, comme un garçon ? En est-elle plus heureuse ? D’une expérience à l’autre, la question , se pose plus aiguë. Elle se résout quand Monique trouve enfin un partenaire à sa mesure. L’odyssée de La Garçonne, histoire d’une émancipation dans le Paris des années 20, à une époque où le féminisme était encore une nouveauté, provoqua des colères. Ses audaces ont perdu de leur virulence, mais la satire des mœurs et sa morale ont conservé leur actualité.


Enfin, pour terminer, je vous présente La révérence de l’éléphant de Laura Trompette édité chez Charleston. Un roman qui va me faire voyager, plus qu’appréciable en ces temps de confinement forcés.

Résumé : « UN VOYAGE DÉPAYSANT EN TANZANIE
Tout le monde devrait mourir ainsi. Entourée d’amour, sous un ciel clément, dans un jardin, avec un petit singe qui traîne pas loin. Mourir au coeur de la vie, avec délicatesse. Éteindre la douleur au moment opportun. Avoir le choix, le contrôle de l’interrupteur. Marguerite est comme l’Eléphant de Tanzanie : dans son ehpad cannois, elle sent que son monde rétrécit. Elle veut tirer sa révérence, mais en France, ce choix ne lui appartient pas. Alors elle entend bien mourir ailleurs, dans la dignité. Avant cela, elle a une dernière tâche à accomplir : redonner goût à l’amour à Emmanuel. Son petit-fils, photographe animalier en Tanzanie, lui semble plus préoccupé par le sort des éléphants d’Afrique que par la solitude dans laquelle il s’est enfermé. La solitude, c’est aussi le lot de Roxanne, depuis qu’elle a abandonné sa carrière de joueuse de poker pour trouver un sens à sa vie. Son arrivée dans la maison de retraite de Marguerite va bousculer leur destin. A travers trois générations et deux continents, un roman qui aborde comme une valse à trois temps, le choix de mourir, la disparition des éléphants d’Afrique et la renaissance du sentiment amoureux. »Laura Trompette écrit depuis son enfance, cumule 250.000 lectures sur Wattpad et a publié 7 romans. Elle a notamment écrit C’est toi le chat et Asphyxie


Et de votre côtés, quelles sont vos nouvelles réceptions ?

 

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